LES LOUPS



HISTOIRE DE LOUPS

Laetitia Beker une jeune Strasbourgeoise chercheuse en biologie qui vit depuis 2004 en Russie au milieu de louveteaux orphelins.
Elle veut préparer les jeunes loups à la liberté et à la vie sauvage. Elle étudie leur mode de vie et veut nous montrer que le loup n'est pas dangeureux pour l'homme.

LES CONDITIONS DE VIE DE LAETITIA BEKER.

La chercheuse vit dans une station biologique à 500 kilomètres à l'ouest de Moscou.On y étudie un "projet loup". Elle habite une isba en troncs d'arbre avec éléctricité et chauffage. Il n'y a pas d'eau, ni de téléphone, ni internet.
La station s'étent sur 35 kilommètres de forêt. On y acceuille des louveteaux sauvages provenant du zoo ou apportés par les chasseurs. Laetitia veut redonner à ces jeunes loups leurs caractère de prédateur carnivore et leurs réflexes de loup avant de les faire retourner à la vie sauvage. Pour les préparer à cela, elle se cache pour les nourrir, ne leur parle pas ne les touche pas. Ces jeunes loups ne doivent pas s'habituer à la présence humaine pour qu'ils restent craintifs et éloignés de l'homme.

MODE DE VIE DES LOUPS

Les hurlements :

Les loups vivent en meute. Les mâles se déplacent pour chasser. Mais les femelles et leurs petits sont sédentaires. Ce sont les hurlements des femelles qui permettent aux mâles de se localiser par rapport à la meute. Ce n'est pas un signe d'agressivité.

Le comportement :
Le loup n'est pas méchant, il n'attaque pas l'homme. Aucun loup sauvage s'approche à moins de 2 mètres d'un homme.
Mais la chercheuse pouvait approcher les loups de très près sans être attaquée.

L'alimentation :
Le loup est un mammifère qui fait peur ; pourtant il mange de l'herbe, des pommes,il raffole de baies d'églantine et d'airelles.

POURQUOI CE TRAVAIL SUR LES LOUPS ?
Les loups sont en voie de disparition. Grâce aux recherches de la station biologique, Laetitia veut changer l'image du loup consideré comme une bête nuisible que l'on tue par n'importe quel moyen. L'équipe de chercheurs voudrait obtenir le statut de gibier pour le loup ; il serait alors interdit de le chasser pendant la période de reproduction. Tous les ans 10 000 loups sont tués en Russie.

CONCLUSION :
Ce travail passionant de la chercheuse montre que le loup sauvage n'est pas dangereux pour l'homme. Bien au contraire, il n'approche l'homme que de loin. Il ne faut pas l'abattre ni l'exterminer. Aussi nous les enfants pouvons dormir tranquille quand nos parents nous racontent des histoires de grands méchants loups!

François, élève en CM1 (2008-2009)