La censure mise en place dès le premier jour de la guerre, contrôle la formation. En réaction à la propagande
officielle, les poilus créent leurs propres journaux de tranchées.
LA CENSURE
Afin qu’aucun renseignement contraire à l’intérêt national ne soit publié, toutes les sources d’information
surveillés. Sur le plan militaire aucune indiscrétion relative au front et aux pertes humaines ne doit filtrer.
Une partie de la correspondance des poilus est contrôlé. A l’arrière, la censure limite l’expression des
oppositions au gouvernent d’union sacrée. Elle pèse sur les articles et les photographies de presse mais également
sur la création artistique : le cinéma, les pièces de théâtre, les revues, les chansons…
LA PROPAGANDE
Au front, le discours officiel essaie de maintenir le moral des soldats. A l arrière, il envahit tout les supports :
affiches, caricatures, bandes dessinées, manuels solaires... A l’étranger, la propagande vise à convaincre
les pays neutre de s engager aux cotés des Alliés.
La propagande et la censure sont maintenu en France jusqu’en octobre 1919 afin d’éviter les trouble sociaux et
les contagions révolutionnaire russes et allemandes.
NAISSANCE DES JOURNAUX DE TRANCHEES
Les combattants créent leurs propres journaux qui connaissent un vif succès dans les tranchées. Ces journaux
emploient le langage des Poilus et cherchent à les distraire malgré la violence des combats.
Ils décrivent la guerre telle que les soldats la vivent quotidiennement et dénonce, par la
caricature, son absurdité.