REPONSES QUIZ N°4 : CULTURE GENERALE.
- QUESTION N°1 :
Autre réponse possible :
A l'époque où le service militaire était encore actif en France, dans l'Armée de Terre, l'uniforme officiel comporte un képi composé de deux parties : le bandeau (la plus grosse partie du ''tube cylindrique'') et le turban (qui entoure le sommet du képi). Le turban peut être de plusieurs couleurs selon l'armée d'appartenance. Pour différencier les appelés de l'armée de métier, le turban des appelés dans l'infanterie (y compris la gendarmerie nationale) était bleu, d'où le nom de ''bleu'' pour les appelés, les nouveaux, les inexpérimentés par rapport à l'armée de métier.
- QUESTION N°2 :
Autrefois, les pièces en métal étaient assez chères. Ainsi, si on trouvait un fer perdu par un cheval d'un propriétaire fortuné car tous les chevaux n'étaient pas ferrés, on disposait ''par chance'' d'une bonne masse de métal pouvant être confiée à un forgeron pour fabriquer la pièce souhaitée.
- QUESTION N°3 :
La coccinelle est considérée comme un porte-bonheur depuis le moyen âge. Elle est surnomée " bête à bon dieu " en raison d'une histoire qui se serait passée au Xème siècle :
un apprenti, qui était accusé d'avoir tué son patron, fut condamné à mort par décapitation. La tête sur le billot, il clamait encore son innocence quand une coccinelle vint se poser sur son cou. Le bourreau la chassa à plusieurs reprises car elle revenait toujours. Le roi Robert le Pieux, voyant celà, crût à un signe divin et grâcia le condamné. Les parisiens qui assistaient à cette exécution commençèrent à appeler la coccinelle " bête à bon dieu ".
- QUESTION N°4 :
Il semblerait que c'est les marchands de parapluie qui auraient lancé cette superstition. Le but étant que les gens ne fassent pas sécher leur parapluie dans la maison. Ainsi les balaines qui étaient à l'époque en fer auraient rouillées au contact de l'eau et les parapluies auraient eu besoin d'être remplacés plus souvent !
- QUESTION N°5 :
La coutume prétend que l'origine du pompon sur le béret des marins est motivée par un souci de sécurité. En effet dans la marine à voile, les occasions ne manquaient pas de recevoir des coups sur la tête.
Mais la véritable raison est que la houppette (ancêtre du « Bachi »), définie par le texte de 1858, apparaît dans les années 1840, à une époque où les conditions d'habitabilité des navires se sont améliorées donc c'est plutôt un besoin technique de finir le fond du bonnet qui explique la présence du pompon. En effet, il apparaît que la confection d'un bonnet se termine par "diminution" par un seul fil de laine et donc une seule couleur... Or la houppette initiale était constituée de fils bleus et rouges. Le "pompon" n'était en fait qu'une façon de finir l'ouvrage de laine, bien souvent tricoté par le marin lui-même.